Carlos Salem

Bonjour ! 🙂 🙂 🙂

Ayant récemment fini un roman de Carlos Salem j’ai réalisé un « dossier » sur lui dans mon journal du lecteur.

J’ai utilisé une biographie de lui qu’on nous avait demandé de réaliser en espagnol, puis j’ai ajouté son portait… Tout ça en écoutant du Boney M  !

La biographie (désolée si il n’y a pas les accents):

Carlos Salem nacio en Buenos Aires, en 1959, tiene 55 años. Es un escritor, poeta y periodista Argentino pero vive en Madrid. Su nombre completo es Carlos Salem Sola.

Estudio ciencias de la información en Cordoba (Argentina). Comienza por escribir y girar programas.

En dos mil siete  publicó su primera novela ; sus novelas son raras pero muy energeticas.

Lo descubri en el salón de novela de suspense en dos mil trece. Me gustó su libro « el hijo del tigre blanco » -> p.9

La traduction (et oui je n’ai pas oublié les non-hispanophones !) 🙂 :

Carlos Salem est né à Buenos Aires en 1959, il a 55 ans. C’est un écrivain, poète et journaliste Argentin mais il vit à Madrid. Son nom complet est Carlos Salem Sola.

Il étudie les sciences de l’information à Cordoba (Argentine) et commence par écrire et filmer des programmes TV.

En deux mille sept il publie son premier roman; ses romans son bizarres mais très énergiques.

Je l’ai découvert au salon du polar en deux mille treize. J’ai aimé son livre  » le fils du tigre blanc » -> p.9

A bientôt !

Certifié sans traducteur automatique (même si ça y ressemble).

Je vous conseil Carlos Salem car il n’a pas écrit que pour les ados, au contraire la majorité de ses livres sont pour les adultes.

 



Une réponse à « Carlos Salem »

  1. Quel voyage extravagant j’ai fait, mais c’est du délire très sérieux! Libre et savoureux
    « …
    -Tu es triste, lui dis-je bêtement.
    -Oui.
    -Moi aussi, j’ai longtemps été triste. Ça ne m’a servi à rien. Longtemps après, j’ai découvert que tous les chemins qu’on prend sont sans retour…
    -Jusqu’où ? Demanda-t-il en caressant Jorge Luis qui ronronnait.
    -C’est ce qui compte le moins, répondis-je. L’important c’est d’aller, de faire, de rire, de pleurer, de vivre. Ce sont des verbes, de l’action. Si tu te trompes tant pis. Mais si tu ne décides pas par toi-même, la chance, bonne ou mauvaise, te sera toujours étrangère. Tu comprends ? On ne peut pas vivre en accusant toujours les autres de son malheur, parce qu’être malheureux, c’est aussi un choix, mais un choix de merde.
    -E qu’est-ce que je fais de mes peurs ? demanda-t-il.
    -Tu les avales, tu les digères, et un beau jour tu apprendras à chier dessus.
    -Et quand est-ce que vous avez appris tout ça ?
    -Il y a quelques jours. Mais je pense qu’au fond, je m’en suis toujours douté.
    … »
    Extrait d’Aller simple de Carlos Salem

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